par mobar » 19 oct. 2013, 17:47
Psychologie de la dette :
Moïshe et Sarah sont allés se coucher. Sarah sent bien que Moïshe n'arrive pas à trouver le sommeil; il se tourne et se retourne dans son lit. "Qu'est-ce qu'il y a Moïshe?" lui demande-t-elle. " Rien, rien..." répond Moïshe. "Moïshe, ne me dit pas cela, je sent bien que quelque chose te tracasse". "Oui", soupire Moïshe, "si tu veux tout savoir, je dois 10 000 shmeckels à Isaac, le voisin, et c'est affreux, je ne peux pas lui rendre... Je ne sais pas quoi faire, ça fait déjà plusieurs mois que ça dure, je dois lui rendre demain, et c'est impossible... Je suis désespéré...". "Attend", lui dit Sarah. A ces mots elle ouvre la fenêtre, et crie " Isaac! Les 10 000 schmeckels que te doit Moïshe, et bien il ne peut pas te les rendre!". Puis elle referme la fenêtre, revient se coucher et dit à Moïshe: "Maintenant c'est lui qui ne peut plus dormir!".
Morale de l'histoire : faire intervenir un tiers, si ça règle pas le problème, ça détend l'atmosphère
De la valeur de l'argent :
Le vieil Abraham Schmolz est mort. Ses enfants se recueillent devant le cercueil ouvert, et vont l'embrasser une dernière fois, en commençant par l'aîné, Isaac. Celui-ci,après son adieu, dépose d'un grand geste une bourse aux pieds du mort :" Pour toi, mon cher père, ces vingt dollars en or!". Puis vient moshe. Même scène, mais :"Moi, je fais cadeau de quarante dollars -or à Père!". Lévi : "quatre-vingt dollars!". Benjamin, le dernier, répète le rite, mais sort un carnet de chèques, remplit et signe :"Mille cent quatre-vingt dollars ; je donne, moi, mille dollars à Père!" Et il ramasse la monnaie...
... au principe de réalité
Psychologie de la dette :
Moïshe et Sarah sont allés se coucher. Sarah sent bien que Moïshe n'arrive pas à trouver le sommeil; il se tourne et se retourne dans son lit. "Qu'est-ce qu'il y a Moïshe?" lui demande-t-elle. " Rien, rien..." répond Moïshe. "Moïshe, ne me dit pas cela, je sent bien que quelque chose te tracasse". "Oui", soupire Moïshe, "si tu veux tout savoir, je dois 10 000 shmeckels à Isaac, le voisin, et c'est affreux, je ne peux pas lui rendre... Je ne sais pas quoi faire, ça fait déjà plusieurs mois que ça dure, je dois lui rendre demain, et c'est impossible... Je suis désespéré...". "Attend", lui dit Sarah. A ces mots elle ouvre la fenêtre, et crie " Isaac! Les 10 000 schmeckels que te doit Moïshe, et bien il ne peut pas te les rendre!". Puis elle referme la fenêtre, revient se coucher et dit à Moïshe: "Maintenant c'est lui qui ne peut plus dormir!".
Morale de l'histoire : faire intervenir un tiers, si ça règle pas le problème, ça détend l'atmosphère :lol:
De la valeur de l'argent :
Le vieil Abraham Schmolz est mort. Ses enfants se recueillent devant le cercueil ouvert, et vont l'embrasser une dernière fois, en commençant par l'aîné, Isaac. Celui-ci,après son adieu, dépose d'un grand geste une bourse aux pieds du mort :" Pour toi, mon cher père, ces vingt dollars en or!". Puis vient moshe. Même scène, mais :"Moi, je fais cadeau de quarante dollars -or à Père!". Lévi : "quatre-vingt dollars!". Benjamin, le dernier, répète le rite, mais sort un carnet de chèques, remplit et signe :"Mille cent quatre-vingt dollars ; je donne, moi, mille dollars à Père!" Et il ramasse la monnaie...
... au principe de réalité