par AJH » 29 déc. 2009, 20:22
nemo a écrit :AJH a écrit :Mais je ne saurais pas répondre précisément à ta question, je le reconnais.
Un simple ordre d'idée est le bien venu.
Vraiment, je ne vois pas comment te répondre et je ne connais aucune étude qui aurait soulevée cette question.
Les limites de ce qui est "monnaie" et "pas monnaie" sont très peu naturelles . Exemple; un titre à échéance 24 mois est comptabilisé en monnaie (agrégat M3), mais un titre à échéance 24 mois et un jour ne l'est plus (c'est classé en "patrimoine", comme l'immobilier ou les actions d'ailleurs).
En plus, il y a de la monnaie qui est prêtée en dehors du système bancaire, et pour celle là il n'y a évidemment que peu de statistiques
Tout le système (capitaliste) est basé sur l'intérêt, ou le revenu du capital (dividendes, loyers, plus values, etc)...
L'affirmation 40/60 est possible sur la monnaie qui transite par le système bancaire seulement (le calcul est ici :
http://monnaie.wikispaces.com/Contrepar ... la+monnaie )
Désolé de ne pouvoir aller plus loin.
[quote="nemo"][quote="AJH"]Mais je ne saurais pas répondre précisément à ta question, je le reconnais.[/quote]Un simple ordre d'idée est le bien venu.[/quote]
Vraiment, je ne vois pas comment te répondre et je ne connais aucune étude qui aurait soulevée cette question.
Les limites de ce qui est "monnaie" et "pas monnaie" sont très peu naturelles . Exemple; un titre à échéance 24 mois est comptabilisé en monnaie (agrégat M3), mais un titre à échéance 24 mois et un jour ne l'est plus (c'est classé en "patrimoine", comme l'immobilier ou les actions d'ailleurs).
En plus, il y a de la monnaie qui est prêtée en dehors du système bancaire, et pour celle là il n'y a évidemment que peu de statistiques
Tout le système (capitaliste) est basé sur l'intérêt, ou le revenu du capital (dividendes, loyers, plus values, etc)...
L'affirmation 40/60 est possible sur la monnaie qui transite par le système bancaire seulement (le calcul est ici : http://monnaie.wikispaces.com/Contreparties+de+la+monnaie )
Désolé de ne pouvoir aller plus loin.