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par energy_isere » 10 janv. 2023, 12:31
Goldman Sachs va commencer à supprimer des milliers d'emplois, indiquent des sources Goldman Sachs va commencer mercredi à supprimer des milliers de postes à travers le monde, ont déclaré deux sources au fait du projet du groupe, qui se prépare à un environnement économique délicat. REUTERS 09 Janvier 2023 D'après l'une des sources, un peu plus de 3.000 emplois devraient être supprimés, mais le total définitif n'a pas encore été fixé. Bloomberg a rapporté que Goldman Sachs allaient licencier 3.200 personnes. Si la plupart des principales divisions de Goldman Sachs devraient être affectées, les services d'investissement bancaire seront vraisemblablement au coeur du plan de suppression d'emplois, a dit l'une des sources.
par energy_isere » 19 août 2020, 19:12
Scandale 1MDB: la Malaisie et Goldman Sachs ont finalisé leur accord de 3,9 milliards de dollars AFP•19/08/2020 La banque Goldman Sachs et la Malaisie ont finalisé leur accord à l'amiable sur le règlement de 3,9 milliards de dollars relatif à la scandaleuse affaire de détournement du fonds souverain 1MDB, a annoncé le géant de Wall Street.
par tita » 29 mars 2019, 13:38
par energy_isere » 28 mars 2019, 19:58
Goldman Sachs écope d'une amende record de 34,3 millions de livres sterling à Londres Publié le 28/03/2019 LONDRES (Reuters) L'autorité britannique des marchés financiers (FCA) a infligé à Goldman Sachs International une amende record de 34,3 millions de livres sterling (40 millions d'euros) pour avoir omis de fournir des déclarations précises sur ses transactions pendant dix ans. .............
par energy_isere » 12 sept. 2017, 15:34
Goldman veut augmenter ses revenus de 5 milliards de dollars annuellement Reuters le 12/09/2017 Goldman Sachs Group a présenté mardi un plan de croissance censé augmenter les revenus de la banque de cinq milliards de dollars au plus annuellement. Ce plan peut être réalisé dans les trois années à venir, a déclaré le président Harvey Schwartz, lors d'une conférence. Ce dernier a consacré du temps à décliner les priorités de croissance de la banque de Wall Street, en particulier dans l'obligataire, dont les revenus ont chuté de 40% au deuxième trimestre. "Nous ne sommes pas satisfaits de notre récente performance dans le segment FICC (obligataire, changes, matières premières) et nous y consacrons toute notre énergie", a-t-il expliqué, ajoutant que l'initiative de croissance de la banque ne dépendait pas d'une amélioration de la conjoncture extérieure. Schwartz a observé que les conditions ne s'étaient guère améliorées pour l'obligataire depuis le début de l'année. "L'environnement de marché du troisième trimestre ressemble à celui des premier et deuxième trimestres", a-t-il dit. "Pour FICC, cela reste un environnement vraiment difficile". Des propos qui renvoient à ceux qui avaient été tenus par le directeur financier Marty Chavez en août. Les revenus tirés des matières premières ont été eux les plus faibles jamais dégagés par Golman Sachs depuis qu'elle est cotée en Bourse. Les économistes de Goldman Sachs ont par ailleurs revu en baisse leur prévision de croissance des Etats-Unis au troisième trimestre, la réduisant de 0,8 point à 2,0%, en conséquence des ouragans Harvey et Irma.
par energy_isere » 11 févr. 2017, 11:59
Goldman Sachs prié de s'expliquer sur les décrets de Trump le 10/02/2017 Deux membres du Sénat américain ont demandé par écrit au PDG de l'influente banque d'affaires Goldman Sachs de s'expliquer sur l'implication éventuelle de salariés de son groupe dans la rédaction de certains des décrets présidentiels signés par Donald Trump sur la réglementation bancaire et financière. Dans leur lettre, datée du 9 février et rendue publique vendredi, les élues démocrates Elizabeth Warren et Tammy Baldwin demandent à Lloyd Blankfein des précisions sur les activités de "lobbying" de la banque liées à la remise en question de la loi Dodd-Frank et de la règle fiduciaire sur le conseil en investissement. Blankfein est également prié de détailler les profits que pourrait réaliser Goldman Sachs si ces réformes entraient en vigueur. "Nous n'avons joué aucun rôle dans la rédaction d'un quelconque décret présidentiel", a déclaré vendredi un porte-parole de la banque. En décembre, Donald Trump a nommé Gary Cohn, ancien président et directeur général adjoint de Goldman Sachs, à la tête du Conseil économique national de la Maison blanche, une instance chargée de coordonner la politique économique fédérale. La semaine dernière, le président a ordonné par décret un réexamen des règles d'encadrement des activités bancaires entrées en vigueur depuis la crise financière de 2008, s'attirant des critiques du camp démocrate, qui lui reproche de défendre les intérêts de Wall Street. "Les décrets présidentiels publiés par le président Trump vendredi de la semaine dernière nous conduisent à nous demander à quel point les conseils de Cohn à Trump sont bons pour Wall Street mais mauvais pour les Américains", écrivent les deux sénatrices. "Goldman Sachs serait un important bénéficiaire de ces efforts de dérégulation du secteur financier." Outre Gary Cohn, Donald Trump a choisi un autre ancien de Goldman Sachs, Steven Mnuchin, comme secrétaire au Trésor. Dans leur lettre, Elizabeth Warren et Tammy Baldwin demandent que leur soient transmis tous les échanges entre des salariés de la banque et Cohn, Mnuchin, Jay Clayton, pressentie pour prendre la présidence de la SEC, le gendarme des marchés américains, ou encore Steve Bannon, "stratège en chef" de la Maison blanche.
par energy_isere » 29 janv. 2017, 19:40
COHN QUITTE GOLDMAN SACHS AVEC UN CHÈQUE DE 85 MILLIONS DE DOLLARS 25/01/2017 Reuters Gary Cohn, président et directeur général adjoint de Goldman Sachs, a reçu 85 millions de dollars (79,2 millions d'euros) d'indemnité de départ avant de rejoindre son nouveau poste au sein du gouvernement américain. Cohn a perçu 20 millions de dollars de rémunération en 2016, soit 5% de moins qu'en 2015, selon un document boursier. Cohn avait annoncé son départ en décembre en vue d'occuper un poste de conseiller économique à la Maison Blanche. Il a dû vendre ses titres Goldman Sachs pour éviter tout conflit d'intérêts, l'ensemble représentant une valeur de 65 millions de dollars qui lui a été versée en numéraire. La banque d'investissement a précisé qu'elle rachèterait par ailleurs les parts de Cohn dans des fonds de capital investissement et fonds spéculatifs gérés par elle. Selon un document d'assemblée générale, Cohn a perçu plus de 10 millions de dollars sur ces placements en 2015.
par energy_isere » 24 sept. 2016, 12:20
Barroso sur Goldman Sachs: "Ce n'est pas un cartel de drogue" Par LEXPRESS.fr avec AFP , publié le 23/09/2016 L'embauche de l'ancien président de la Commission européenne par la banque d'affaires américaine a suscité scandale et incompréhension. Lui ne voit pas le problème. ................
par matthieu25 » 23 juil. 2016, 19:24
par Remundo » 23 juil. 2016, 19:15
par marocain » 23 juil. 2016, 18:58
energy_isere a écrit : Selon le site britannique Glassdoor un vice-président (subordonné à Barroso) empoche un salaire de base de 158 000 €, auquel s' ajoute un bonus moyen de 90 000 €.
par Remundo » 23 juil. 2016, 15:42
par energy_isere » 23 juil. 2016, 13:01
energy_isere a écrit :Le jackpot après l' Europe.
A Wall Street Goldman Sachs est connue comme la banque qui rémunère le mieux ses 32 000 collaborateurs. Selon le site britannique Glassdoor un vice-président (subordonné à Barroso) empoche un salaire de base de 158 000 €, auquel s' ajoute un bonus moyen de 90 000 €. Rien à voir avec les émoluments des fonctionnaires de Bruxelles ou de Paris
par energy_isere » 10 juil. 2016, 12:28
Le recrutement de Barroso ou les dérives du "gouvernement Sachs" L'embauche de l'ancien président de la Commission européenne par la banque d'affaires américaine provoque un concert de critiques. De notre correspondant à Londres, Marc Roche José Manuel Barroso a été engagé comme conseiller de Goldman Sachs International, la filiale européenne du groupe new-yorkais installée à Londres. Il fait partie du cercle très fermé des missi dominici de la banque, recrutés avec grand soin et à prix d'or. Celui qui a occupé la présidence de la Commission européenne entre 2004 et 2014 connaît intimement les coulisses de l'Union européenne et des ministères des États membres, tout comme les allées du pouvoir dans les places financières. L'ancien Premier ministre portugais à l'entregent considérable a l'oreille des décideurs qu'il peut appeler directement dans les moments de crise ou pour aider la maison à rafler des mandats. Apôtre du capitalisme de « relations » Le nouveau « Goldmanien » est en bonne compagnie. Son prédécesseur, Romano Prodi, président de la Commission entre 1999 et 2004, a travaillé pour la firme entre 1990 et 1993, puis une seconde fois en 1997. En outre, les ex-commissaires européens à la Concurrence (Mario Monti, Peter Sutherland) ou aux Services financiers (Charlie McCreevy) ont été recrutés par l'établissement new-yorkais. Pour pénétrer au cœur du pouvoir à Bruxelles ou anticiper – voire modifier – les directives et les réglementations, un ancien président de la Commission de la trempe de Barroso, magnifiquement introduit dans le dédale des coulisses par le truchement d'un solide carnet d'adresses, n'a pas de prix. Une aide d'autant plus vitale aujourd'hui que la victoire du Brexit lors du référendum britannique du 23 juin a bouleversé la donne. Goldman Sachs International a généreusement financé la campagne hostile à la sortie du Royaume-Uni de l'Union européenne. Ses dirigeants n'ont pas caché leur volonté de délocaliser des milliers d'emplois de Londres vers le Vieux Continent en cas de largage des amarres. Dans ce contexte, Barroso jouera un rôle-clé dans le choix des places financières bénéficiaires de ces transferts. Paris, Francfort, Dublin ou Luxembourg sont sur les rangs pour accueillir, le moment venu, les cadres londoniens de Goldman.
par Remundo » 09 juil. 2016, 22:21
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